5 milliards de personnes, soit près de 80% de la population mondiale vit à proximité d’un cours d’eau dégradé ou pollué.
De nos jours, 450 pesticides et plus de 3500 spécialités commerciales se retrouvent dans notre eau de boisson.
Produits phytosanitaires, soins corporels conçus pour notre bien-être et notre santé mettent en danger l’accès à l’eau et à la biodiversité.
L’eau, si indispensable à la vie, doit être protégée de toute urgence.
- A ce jour, seulement 50 molécules peuvent être dégradées par les boues actives de nos stations d’épurations
Il serait primordial d’améliorer les traitements de l’eau et de traiter l’eau en plusieurs étapes mais, regroupées. Les traitements des eaux usées par les stations d’épurations, s’ils sont pris individuellement (physico-chimique, biologique… boues activées) ne permettent pas à l’heure actuelle de traiter convenablement l’eau. Il faudrait les cumuler car, selon les relevés, fournis par l’INSERN de Bordeaux I on peut remarquer que si un type de traitement peut être efficace sur une molécule, il ne l’est pas forcement sur une autre.
Si prendre conscience qu’une filtration plus fine de l’eau du robinet doit être effectuée en aval c’est à dire chez soi, il devient une évidence que protéger l’eau devienne aussi notre priorité.
A l’heure actuelle, sur les 3000 substances les plus utilisées, plus de la moitié n’ont pas de données toxicologiques de références et ne permettent pas d’évaluer le danger. 7 % sont totalement renseignées. Ce n’est que sur 40 d’entre elles que sont focalisés les efforts de recherches en fonction de la quantité consommée, risques et non dégradation de certaines.
Dans des composés encore plus problématiques on dénombre à des dizaines de milliers de molécules. On comprend pourquoi aucun ministère de la Santé n’est en mesure de donner une analyse sur les résidus de médicaments ou de certains produits phytosanitaires lors des comptes rendus détaillés (bactériologiques et physicochimiques) et obligatoires de l’eau potable.
Les chiffres parlent d’eux même. Inutile de se cacher derrière les « faibles doses », du nano-gramme (un milliardième de fois moins qu’un gramme), le danger de conséquences sur la santé et l’environnement existent bel et bien puisque ces molécules sont présentes dans notre eau!
- Que faire ? Un pas de plus vers le Zéro Déchet.
Puisque la liste des composés retrouvés dans l’eau est intimement liée à l’évolution de notre consommation de ces substances, à nous de choisir des produits sûres, 100% biodégradables et réellement à zéro déchet.
Nous sommes tous amateurs d’environnement et de zéro déchet pour notre planète.
C’est une démarche très noble et il nous a semblé très important que nous soutenions cette idée de préservation de l’environnement et de l’eau en vous proposant une sélection de produits pour tous les jours, réellement 100% biodégradables, sans chimie, ni microfibres de plastique sans risque de contaminer notre environnement et notre eau.
Extrait : Osmodyn, Une bonne eau à domicile, « Sources Vitales » 2003, Fabienne Barrier, Association Bioélectronique Vincent . Laboratoire Nutrilab devenu Nutridyn SARL Genève spécialisé depuis plus de 10 ans dans la filtration de l’eau et le bien-être. Nos Filtres à eau www.osmodyn.com et gamme Bien-être et santé www.nutrieurope.ch